Le référencement des Cycles d’Ouranos en cours (janvier 2021)

Alors je dois bien avouer que j’en bave pas mal pour quelque chose que pourtant j’ai pratiqué longtemps et avec un certain succès. Vu tout le boulot que ce projet me demande en permanence (je bosse quasiment tout le temps sur tous les fronts) j’avais lancé le blog, il y a un peu moins d’un an et demi, en faisant une sorte de blog/journal de bord pour m’aider à structurer mes idées et réaliser le lore. La raison de cette décision s’est réalisée par rapport à l’équipement choisi pour la partie rédactionnelle/scénarisation, un petit chromebook des familles made in Asus (un bijou). Après des mois d’utilisation souvent intensive, ce fut une excellente décision, car des heures passées sur le pc, comme ce soir, me mettre sur le canapé pour régler des points d’histoire, prendre des notes, gérer les sites, par exemple, c’est du bonheur (il y a des soirs où rien que penser à m’installer devant le PC m’épouvante simplement). J’utilise assidument Google docs, mais je voulais un peu me faire une sorte de journal, un vrai journal, qui m’accompagne tout du long de la réflexion. Bien m’en a pris, car il y a eu des moments, heureusement rares, où j’ai pu me décourager en trouvant ne pas avancer assez vite. Bien que préparé à la difficulté du projet (je voulais reprendre un projet de jeunesse et intégralement tout repenser, en profondeur, en accompagnant le projet d’un profond travail de recherche), il y a eu des jours où je me trouvais incapable et improductif. Mais en allant sur le site, et en explorant les pages écrites durant des semaines et des semaines, au contraire, je me rendais compte du boulot effectué et ça me faisait un antidote à la fois efficace et puissant aux moments de déprime. A la fin de l’été, après avoir finalisé le début du storyboard, les dialogues, la structure du premier volume, et les 8 premières pages au crayon, la phase deux pouvait commencer, et ça signifiait recycler le site en un site corporate, informatif. En même temps que je réalisais le dossier de présentation, m’obligeant à mettre au propre des idées souvent complexes (merci tout mon « système » lié aux Daïmons), je relookais le site… et première étape, le rendre enfin visible. Car pour éviter de me spoiler moi même, j’avais mis le site en non référencement… mais apparemment trop parfaitement car en retirant la non indexation, force est de constater qu’à l’heure d’aujourd’hui, il n’apparaît toujours pas sur le Google. Donc, j’ai relevé les manches, et au lieu de faire ça comme un salopiot à la va-vite, j’ai commencé une ébauche de référencement SEO propre avec en appui la fameuse console Google. Petit retour rapide dans une partie de mon métier d’expert en communication, dans lequel j’ai été technicien mais aussi maître d’oeuvre. Entre les deux, il y a une petite finesse, qui est passé de la technicité au management. Je savais quoi demander à un référenceur et je ne m’y suis plus collé depuis des années. A l’époque, tout me semblait facile, car complètement adepte du marketing Inbound, j’avais eu des résultats toujours bluffants et rapide. Mais au jour d’aujourd’hui, je me rends bien compte que ce sera un poil plus long et un poil plus exigeant, car faire connaître ce projet qui devient au jour le jour une BD va me demander du temps et la mise en place de stratégies communicationnelles ambitieuses voire complexes. La question étant si j’arriverai à tout faire, car comme je l’ai dit à certaines personnes de mon entourage, c’est un projet complexe, que je veux très ambitieux, et que je suis seul à porter à bout de bras (refus récent d’un éditeur en qui j’avais placé de réels espoirs : c’est la vie ;-p)/

Mais comme toujours dans ma vie, le plus important demeure l’aristeia donc tête dans le guidon et pas la peine de regarder en arrière.

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